Tout préparer en avance

Pour éviter les mauvaises surprises et les imprévus (qui arrivent très souvent dans ce genre de moment), pensez à préparer à l’avance tout ce que vous pouvez pour accueillir votre bébé comme il se doit. Pour ne pas vous éparpiller, vous pouvez dresser une liste dans laquelle vous noterez tout ce qu’il faut acheter et les tâches à faire : monter le berceau, préparer le stock de couches…
Une fois que tout est prêt, pensez aux imprévus qui pourraient surgir. À partir de là, vous pouvez vous équiper pour gérer les situations d’urgence.
Même si vous n’en êtes encore qu’à la préparation de l’arrivée de votre bébé, avoir à votre disposition tout le matériel nécessaire vous enlèvera un gros poids. De plus, une bonne préparation vous évitera d’oublier les éléments les plus importants.

Se partager les responsabilités

Maman solo ou en couple, vous pouvez parfaitement partager les responsabilités avec votre conjoint, un ami proche ou un membre de votre famille. Nous savons qu’il s’agit de votre bébé et que vous souhaitez certainement vous occuper de tout à votre manière.
Cependant, il faut voir la réalité en face. Vous n’êtes plus en état de faire plusieurs choses. Votre rôle est déjà crucial : tenir bébé au chaud jusqu’à son arrivée. Il est donc temps pour vous d’apprendre à déléguer et à lâcher prise.
Choisissez une personne de confiance que vous croyez capable d’accomplir vos missions. Si vous arrivez à le laisser faire, vous verrez que vous avancerez plus vite dans les préparatifs. Peut-être que la personne ne fera pas les choses à votre manière, mais le principal est que la tâche soit bien accomplie.

Ne pas trop se mettre la pression

Si, malgré toutes ces astuces, le stress ne redescend pas, il est temps de faire appel à des professionnels. Il est évident que vous avez besoin d’un peu d’aide. Pour ce faire, laissez des spécialistes s’occuper de vous. Sur gerersonstress.fr, vous pourrez vous renseigner sur tout ce qui concerne le stress et les différentes manières de le gérer. Par ailleurs, recevoir des conseils venant de vrais professionnels vous mettra plus en confiance pour arriver à gérer correctement votre stress.

Le danger est partout

Il ne faut pas se leurrer, le monde actuel est dangereux. Il existe trop d’influences destructrices qui pleuvent sur les familles, sur les enfants en particulier. Cela peut venir des divertissements, des médias, des autres enfants et parfois même, de l’école. Alors, comment protéger les vôtres ? En laissant faire parce que de toutes manières, vous n’y pouvez rien ? Ou bien tout interdire à vos enfants, parce que tout est néfaste, télévision, réseaux sociaux, amis, etc. ? Ces deux comportements extrémistes ne feront pas de bien à vos enfants et ne garantissent donc pas le bonheur de votre famille.

Comment protéger les vôtres ?

Sur le plan de l’instruction par exemple, il est indéniable que l’école apporte beaucoup aux enfants. Ceux-ci y apprennent à lire, à écrire, à compter, à réfléchir, à raisonner, à communiquer. Mais des idées très laxistes sur l’immoralité y sont aussi véhiculées. Donc, il vous incombe d’éduquer vos enfants à ce sujet, de leur transmettre des principes moraux qui les protégeront, de leur inculquer le sens de la responsabilité. Prenez le temps, régulièrement, de parler avec vos enfants, montrez-leur le bon exemple également en ne plaisantant pas sur ce qui est immoral, en défendant vos valeurs. Pour les amitiés également, vous devriez être un guide pour vos enfants qui ne savent pas toujours faire le bon choix. Aidez-les à acquérir le discernement nécessaire à ce sujet.

Quelles qualités refléter ?

En tant que père et chef de famille, vous devez manifester et développer certaines qualités essentielles. Par exemple, vous devez vous montrer plus attentionné qu’avant, être observateur et être capable de déceler un malaise ou un souci que pourrait avoir un membre de votre famille. Une telle attitude leur montrera que vous vous souciez d’eux, ce qui renforcera vos liens. Vous devriez également montrer par vos paroles comme par vos actions que vous placez les intérêts et le bien-être de votre famille avant les vôtres. Même fatigué après une journée fastidieuse au travail, essayez de vous montrer serviable, soyez à l’écoute si quelqu’un a besoin de parler. Votre patience contribuera à la paix chez vous.

Une autorité pleine d’amour

En tant que père, vous détenez une certaine autorité sur votre famille, ce qui ne signifie nullement que celle-ci est à vos ordres, que ce sont vos subalternes. Exercez une autorité pleine d’amour et vous aurez facilement l’amour et le soutien dont vous avez besoin. Votre famille sera plus unie et plus heureuse si vous êtes un père doux, raisonnable. Sachez vous excuser si vous avez pris une décision irréfléchie, si vous avez commis un tort quelconque, vous rétablirez la paix et la confiance chez vous et vous enseignerez l’humilité à vos enfants.

Difficulté à enfanter et stress forment un cercle vicieux

L’infertilité est une source de tension constante dans un couple. Bien que les tourtereaux s’entendent à merveille sur tout, avoir un enfant est un sujet qui peut rapidement fâcher ou attrister. Bon nombre de maris et femmes se séparent suite à l’impossibilité d’avoir un bébé, quelle qu’en soit la cause. Les partenaires subissent une énorme pression face à la recherche de progéniture. Si après plusieurs essais, le couple n’arrive pas à avoir d’enfant, l’anxiété apparaît inexorablement au même titre que l’agitation. La discorde se fait plus fréquente. L’insomnie et le sentiment de tristesse permanente plombent le quotidien. L’isolement social caractérise également le stress lié à la fertilité. La déprime s’installe progressivement. Les signes sont irréfutables, l’incapacité à avoir un enfant stresse. Ce trouble hormonal occasionne à son tour davantage de freins à la procréation. Alors, apprenez avec stress.app/fr à gérer votre stress, à faire tomber la tension et à vous détendre.

Les troubles hormonaux sont à l’origine de l’infertilité

Du point de vue purement physiologique, des preuves de la corrélation entre stress et infertilité ont été établies. Des universitaires américains sont parvenus à la conclusion que les personnes souffrant de ce trouble hormonal récurrent ont deux fois plus de difficulté à procréer. Les chercheurs de l’État d’Ohio affirment leur thèse en menant une enquête approfondie sur quelque 501 femmes. Ils arrivent à la déduction que les dames de 18 à 40 ans ont souvent tendance à stresser lorsqu’elles souhaitent avoir un bébé. Les chances sont réduites de moitié si la future mère est tendue. L’échantillon étudié comprend exclusivement des personnes sans aucun problème de procréation spécifique. La déprime entrave la fécondité chez l’être humain. Un taux de cortisol trop élevé fait que les conditions pour accueillir un embryon ne sont pas réunies. Puis, d’autres troubles hormonaux, dont le diabète, peuvent davantage aggraver la situation.

La nervosité rend les hommes moins efficaces pour procréer

Les hommes ne sont pas épargnés par le stress. Ils subissent une forte pression au moment de procréer. D’ailleurs, la gent masculine rencontre des appréhensions à chaque rapport sexuel. Il leur faut assurer à chaque relation charnelle alors que le corps ne peut pas toujours répondre efficacement aux envies. La déprime est l’une des principales causes de l’impuissance. L’impossibilité de tenir une érection suffisante pour pénétrer la femme et livrer la semence découle indirectement d’un pic de cortisol. Pour rappel, cette hormone doit normalement être sécrétée pour répondre à des situations particulièrement dangereuses. Elle gère l’instinct de survie, mais occasionne en même temps des réactions en chaîne aux effets dévastateurs. Pour ceux qui souhaitent venir à bout de l’impuissance causée par le stress, il est possible de suivre un cours ou se faire coacher par un professionnel pour mieux gérer le stress. La prise en charge comprend du développement personnel, mais également des exercices pratiques.

Occuper vos enfants

Pendant les jours fériés ou les vacances, les enfants passent beaucoup de temps à la maison. À un moment donné, ils vont finir par s’ennuyer. C’est là que commence les disputes. Pour faire face à cette situation, vous devez occuper vos enfants. Vous pouvez les proposer de faire une balade en vélo, des jeux de sociétés, ou encore aller à la piscine.

Être neutre

Lorsque vous allez interroger vos enfants sur l’origine du conflit, ils semblent tous avoir raison. Il est conseillé de ne pas prendre parti à ce moment-là. Vous pouvez pacifier les choses en envoyant les opposants chacun dans leurs coins. À ceci, vous n’allez pas faire du favoritisme.

Rester calme

Crier sur vos enfants ne sert à rien. Par ailleurs, avec de tel comportement, vous allez leur montrer un mauvais exemple. Ce que vous pouvez faire est d’abord de garder votre sang-froid. Puis, mettez votre main sur l’épaule de votre enfant et parlez-lui calmement.

Éviter de toujours intervenir

Quand il y a une altercation entre les enfants, on a souvent tendance à intervenir. Cependant, il est nécessaire qu’il y ait des disputes afin de laisser s’exprimer librement la jalousie et l’hostilité. Si les disputes entre les enfants ne s’enveniment pas, il n’est pas toujours utile d’intervenir. Et, voyez qu’ils vont trouver par eux-mêmes des compromis pour résoudre leurs différends.

Soyez méthodique

Mais si vous remarquez que vous jetez assez régulièrement des denrées périssables parce que vos bambins n’aiment pas ou parce que vous en avez acheté trop et vous n’avez pas réussi à les terminer avant la date de péremption, il est temps de revoir votre façon de faire vos provisions. En premier lieu, listez ce que vous prenez le matin, à midi et le soir. Ce peut être quelque peu fastidieux au début mais au fur et à mesure, ce sera plus facile. Donc, calculez le nombre de repas pour la semaine et réfléchissez aux menus de chaque repas, sachant que pour le petit-déjeuner et le goûter, ce doit être à peu près la même chose tous les jours. Faites vos courses alimentaires sur la base de cette liste et celle-ci vous rappellera ce que vous devez préparer à manger.

Avez-vous du stock ?

Pour optimiser vos achats et ne plus acheter en vous éparpillant, avant d’aller faire vos courses, prenez le temps de vérifier si vous avez encore quelques produits en stock. Faites l’inventaire de ce qu’il y a encore dans votre réfrigérateur et dans votre garde-manger. Voyez ce qui est périmé, ce qui n’a jamais servi, ce que vous n’avez vraiment plus, etc. Vérifiez également ce dont vous avez besoin tous les jours mais qui vous en reste juste un peu et précisez sur votre fameuse liste la quantité nécessaire. De cette manière, vous allez acheter exactement ce dont vous avez besoin et vous allez réduire la facture.

Comprendre l’enfant

Il est à préciser qu’un parent qui adopte la pratique de la parentalité positive conserve toujours son autorité, mais en douceur. Le but est de rendre un enfant responsable sans lui faire peur quand il se comporte mal, c’est-à-dire qu’en cas de problème le parent et l’enfant s’impliquent pour le résoudre et avec des règles bien définies. Et pour comprendre un enfant, il faut connaître les étapes et processus de son développement en fonction de son âge et ses besoins fondamentaux, et lui rester toujours attentifs. En fait, les causes profondes d’un comportement dérangeant (colère, pleurs, cris…) sont les besoins non satisfaits.

Comprendre soi-même

Il ne faut pas oublier que les parents ont aussi leurs besoins et les enfants doivent comprendre cela. Et si ces besoins sont insatisfaits, ils les transmettent aux enfants, mais de façon inconsciente. Ce qui fait qu’il est impératif que les parents soient conscients de leurs propres manques et blessures et essayer avant tout de les réparer. Vouloir répondre aux besoins de l’enfant ne signifie pas être toujours à sa disposition et céder à ses caprices, il faut lui expliquer et lui proposer des alternatives raisonnables.